Jeu Set Match #2 Regina
- Marie
- 5 sept. 2016
- 3 min de lecture

Thème : Romance, Champion de Tennis, Femme journaliste, Triangle amoureux
Date de Sortie : 26 Aout 2016
Auteure :
Battista Tarantini a eu trente ans cette année. Adolescente, elle rêvait d'être agent double. C'est chose faite : le jour, elle est épouse, mère - et autre chose qu'elle ne révèlera même pas sous la torture. À la tombée de la nuit - parfois jusqu'aux premières lueurs de l'aube -, elle se perd dans les bras de ses hommes de papier, aux côtés d'Amazones qui l'aident à les séduire, les comprendre, et les aimer. La romance est la clé des champs qui lui permet de devenir n'importe qui, en emportant des lecteurs aussi rêveurs qu'elle.
Synopsis :
Quatre semaines ont passé depuis ce jour où Ella et Sevi ont succombé à la passion qui les dévorait à Monaco. Le joueur a remporté tous ses tournois à Barcelone puis à Madrid, et la publication de l’article de la journaliste est imminente. Les retrouvailles tant attendues, à Rome, s’annoncent enflammées ! Mais paparazzi et tabloïdes en ont décidé autrement, contre toute attente, c’est la surmédiatisation qui remplace les étreintes, et la liaison d’Ella et Sevi éclate au grand jour. Propulsée malgré elle sous le feu des projecteurs, livré en pâture aux journalistes qui la harcèlent et inventent les rumeurs les plus folles, Ella se sent cernée. Sevi n’est pas mieux servi, et ce harcèlement le fragilise alors qu’il est à un tournant de sa carrière. Sevi devra se battre pour garder Ella, pour qu’elle accepte de rester dans son monde malgré ses ombres, et ne se tourne pas vers les hommes qui, à l’instar de Luka Tessier, lui offriraient bien plus de stabilité et de paix que lui. Ce match-là est loin d’être gagné d’avance…
Avis :
Le Russe est de retour, mesdames, et accrochez-vous, car il dépote ! Alors qu’il joue le meilleur tennis, sa vie sentimentale se retrouve a un tournant, en effet, je pense que le Tsar n’avait pas prévu de tomber amoureux d’une petite journaliste, et pourtant … Et pourtant ! La Passion les gagne et les monte vers des sommets rythmés de fusion, de sexe, de … On en veut encore. Franchement moi aussi je veux être dans les bras de Sevi, même si je le trouve beaucoup trop mystérieux, et cachotier, il a ce petit truc qui nous fait craquer ! Est-ce son accent russe ? Sa belle gueule ? Ses muscles ? Ou peut-être un tout ? Une chose est sure quand Sevi passe, notre culotte trépasse. Et le pire dans tout ça c’est que nous sommes loin d’être rassasiés, personnellement j’en voulais encore et toujours. Enfin voilà, dans ce second tome, nous sommes a un tourne dans la relation Sevi/Ella.
4 semaines sont passées et ils vont enfin se revoir, la journée le joueur de Tennis appartient à son public, à son sport, la nuit c’est à Ella qu’il appartient. Leur relation évolue, et quand leur histoire éclate au grand jour, ils n’ont pas d’autre choix que de faire face ensemble. Ils doivent se faire mutuellement confiance, ce qui n’est pas chose facile, et si Ella avait su !!!!
Je suis littéralement sur les fesses, je m’attendais à tout sauf à ça, j’ai été surprise, je me doutais qu’il y aurait des hauts et des bas, mais honnêtement dans mon esprit c’était tout autre, alors bravo à Battista, tu m’as tenu en haleine et j’apprécie énormément. Encore une fois, comme je le disais lors d’une précédente chronique, Battista sait de quoi elle parle, ici c’est notamment du tennis et du journalisme et franchement on s’y croirait vraiment. Elle a cette faculté pour nous amener dans son histoire, qu’une fois finit la chute est douloureuse. Je n’ai pas vu ma lecture passée, les personnages autant principaux que secondaires m’ont touchés, Chery, pour qui Ella travaille, on la vu sous différentes facettes, pareil pour le Tsar, leurs descentes au enfer a été terrible, mais … Le phénix renait de ses cendres.
Et cette fin, bon sang ! jusqu’au bout elle m’aurait fait flipper, mais l’épilogue est juste magnifique !
Enfin voilà, j’avais hâte de pouvoir lire le second tome de JSM que maintenant je suis triste d’avoir fini, je veux du Russe encore et encore.


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