Des camions de tendresse

Je remercie Tabou Édition pour leur confiance

Résumé :

Lorsqu’au milieu d’une nuit, Vick, jeune auto-stoppeuse, embarque à bord du camion de Marc et Tristan, loin de découvrir deux rustauds machos, dragueurs impénitents des madones de l’asphalte, elle se retrouve encadrée par un couple d’homosexuels. « Ils étaient beaux. Plus que beaux. Super rayonnants, presque irréels à force de splendeur. Ils aimaient la bière, le vin, l’alcool, les fumées à mirage, la route et la sueur, la fatigue vaincue, les horizons lointains, l’eau, la terre, le feu, les épices et la vie, et par-dessus tout, la musique et la danse. Ils étaient grands. Plus que grands. Géants, archimusclés, hyper virils. Et pédés... » Les quelques kilomètres du départ dureront deux années, le temps d’une vie à trois chargée de désirs et de combinaisons amoureux hors du commun...

Quand Vick une jeune femme perdue, se retrouve a faire du stop, elle tombe sur Marc et Tristan, un jeune couple de routiers gay. Ils la prennent d’abord pour un homme, mais une fois l’erreur remarquée ils décident de la prendre avec eux.

Alors il est difficile de faire une chronique quand on n’a pas forcément apprécié un livre, mais je vais essayer d’être le plus impartiale possible

J’ai eu malheureusement beaucoup de mal à terminer le roman. Pourtant de dans il y a habituellement tout ce que j’aime, de la tendresse, de l’amour, du sexe, mais il m’a manqué quelque chose qui m’a transporté. Les personnages sont très attachants, Tristan et Marc on fait beaucoup pour notre Vick, ils l’ont fait revivre, mais ça n’a pas suffi. Ces deux gaillards sont justes excellents et on aimerait tous avoir des connaissances comme ça j’en suis sur

cependant l’histoire est très bien montée, c’est un bon roman M/M, à la fois doux, des sentiments torrides bref le bon mélange.

Je vous le conseille cependant, ce n’est pas parce que pour moi je n’ai pas accroché que pour vous ce sera la même chose. Je ne connaissais pas du tout l’auteure qu’est Françoise Rey, mais je ne demande qu’à lire d’autre roman d’elle, peut-être que j’aimerai.